Cancún à mi-parcours

À l’issue de la première semaine de négociations, les perspectives de « compromis positifs » semblent éloignées.

Les grandes puissances ont repris de l’assurance et tentent de faire tomber les jalons restants ; le front du refus des pays riches à s’engager dans une seconde période « post-Kyoto » s’élargit.
La réaction des pays de l’ALBA lors d’une conférence de presse a été sans appel : les responsables des délégations de la Bolivie, du Venezuela et de l’Equateur entre autres ont clairement rappelé que les accords sectoriels ne pouvaient être seulement des accords techniques, mais qu’ils étaient eux-mêmes conditionnés par des engagements clairs en vue d’un traité contraignant pour l’après 2012.

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